EXAMEN INFIRMIER DE L'Ordre des infirmières et des infirmiers du Québec (OIIQ) À MONTRÉAL, QUÉBEC, CANADA
GUIDE DE PRÉPARATION À L'EXAMEN INFIRMIER DU QUÉBEC
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Question 1:
Monsieur X, 72 ans, admis pour une laparotomie exploratrice sous anesthésie générale. Hx : hypertension, diabète, insuffisance rénale et hx de l'apnée du sommeil. Quel constat d'évaluation devez-vous saisir au TNP ?
Question 2:
M. X post-opératoire, sur PCA. Douleur : 2/10, RR : 10, SpO2 : 94 % R/A, TA : 128/72, HR : 78, niveau de sédation : somnolence. Quelle intervention prioritaire ferez-vous avant de quitter la chambre de Monsieur X ?
Question 3:
Ordonnances médicales :
hydromorphone (Dilaudid) 1 mg/comprimé, 1 comprimé PO q 3-4 h PRN.
acétaminophène 325 mg/cp, 2 cp PO 4-6 h PRN.
La dernière prise d'acétaminophène est le matin et est inefficace.
La douleur du patient est maintenant de 5/10 et demande un antalgique.
Quelles autres informations devez-vous recueillir pour évaluer l'efficacité de l'acétaminophène M. X a pris au cours des 8 dernières heures ?
Question 4:
Le patient refuser de prendre son opioïde prescrit, quelle recommandation devez-vous lui donner pour l'aider à mieux gérer sa douleur ?
Question 5 :
Que répondrez-vous lorsque l'ex-femme de M. X demandera quand il sortira ?
Réponse 1:
1.Risquede dépression respiratoire.
Réponse 2 :
1. Retirez le périphérique PCA.
Réponse 3 :
1. À quelle fréquence a-t-il pris de l'acétaminophène.
2. Combien de comprimés il a pris.
3. Quand il a pris la dernière dose.
4. Douleur au moment de l'action maximale du médicament.
Réponse 4:
1. Prenez le paracétamol q 4-6 h régulièrement ou avant que la douleur ne soit à plus de 4/10.
Justification : Pour empêcher la douleur d'atteindre un picou pour maintenir des taux sériques optimaux.
Réponse 5 :
Toute réponse indiquant que les informations de Monsieur X ne peuvent être divulguées sans l'accord des patients.
Mme X, 35 ans, a accouché à 38 semaines de gestation de son deuxième bébé. Elle a eu un travail prolongé, recevoir une anesthésie péridurale et un 3e degré périnéale larme. Lorsque vous faites votre évaluation initiale, l'UF est à 1/0 et a dévié vers la droite. La patiente se plaint de douleurs de « crampes sévères » dans le bas-ventre et de douleurs périnéales et sa première miction a été 100 ml.
Question 1:
D'après votre évaluation, quel est son problème ?
Question 2:
Quelles sont les causes possibles de son problème ?
Question 3:
Vous intervenez sur le problème du patient. Identifiez deux signes que votre intervention a été efficace ?
Question 4:
Le périnée du patient présente un œdème modéré et se plaint de douleurs au niveau 4/10. Vous administrez deux analgésiques, mais la patiente aimerait savoir s'il existe d'autres moyens non pharmacologiques de soulager sa douleur et de prendre moins d'analgésiques. Quelle sera votre réponse ?
Question 5 :
Quelle est la différence entre bain de siège froid et tiède ?
Question 6 :
Mme X souffre d'anémie. Le médecin a prescrit un supplément de fer. Quelle recommandation vous lui dire d'améliorer l'absorption de son supplément de fer ?
Question 7 :
Quel problème prioritaire ajouterez-vous au TNP du patient ?
PROBLÈME OU BESOIN PRIORITAIRE
1. Accouchement vaginal à 38 semaines.
2. Déchirure périnéale du 3e degré.
3. ---------------------------------
Réponse 1:
Vessie distendue ou rétention urinaire.
Réponse 2 :
1. main-d'œuvre prolongée
2.Recevoir une anesthésie péridurale
3,3e degré périnéal déchirure ou douleur périnéale
4. Extra : Livraison difficile.
Réponse 3 :
1. UF : 0/0 ou au niveau de l'ombilic ou sous l'ombilic.
2. UF : n'est plus dévié vers la droite ou est médian.
3. Aucun signe de vessie distendue à droite.
Réponse 4:
1. Appliquez de la glace sur le périnée.
2. Prenez des bains de siège froids ou des douches périnéales pendant les 24 premières heures.
3. Prenez des bains de siège ou des douches périnéales tièdes après les 24 premières heures.
4. Contractez les fessiers et les muscles du plancher pelvien avant de s'asseoir, puis relâchez-les lorsqu'elle est assise.
Réponse 5 :
1. Le bain de siège froid ou la glace diminuent l'inflammation au cours des 24 premières heures tandis qu'un bain de siège tiède stimule la circulation sanguine et favorise la guérison des tissus.
Réponse 6 :
1. Prenez un supplément de fer au moins 1 heure avant les repas ou entre les repas.
2. Prendre un supplément de fer 1 à 2 heures après les repas.
3. Prenez un supplément de fer au moment des repas avec de l'eau ou du jus.
4. Attendez 1 heure avant de consommer des produits laitiers ou du thé et du café ou des aliments contenant du blé ou de l'oxalate.
5. Prenez un supplément de fer avec de la vitamine C.
Réponse 7 :
1. Anémie
Une patiente primipare a accouché par voie vaginale sans anesthésie d'un garçon en bonne santé de 3,4 kg.
Question 1:
La patiente demande « A part le fait que ça ne fait pas mal, comment saurai-je si mon bébé a bien pris le sein », quelle sera votre réponse ?
Question 2:
Quelle est l'importance du verrouillage correctement en plus d'aider le bébé à téter efficacement ?
Question 3:
Hormis le fait que le bébé prend du poids et que le bébé doit être allaité à la demande, que direz-vous à la patiente des deux autres signes qui indiqueront que son bébé boit suffisamment de lait ?
Question 4:
Pourquoi un bébé allaité peut-il téter plus souvent qu'un bébé nourri au lait maternisé ?
Question 5 :
La patiente hésite à faire vacciner son nouveau-né. Elle s'inquiète des dangers de la vaccination. Elle déclare que les vaccins peuvent provoquer l'autisme et que l'allaitement peut protéger son bébé. Quelles informations vous communiquerez à la patiente pour qu'elle puisse prendre une décision éclairée quant à la vaccination ou non de son bébé.
Question 6 :
Le patient a beaucoup entendu parler du syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) et le bébé doit toujours être placé sur le dos pour dormir pour éviter ce problème. Donnez quatre recommandations sur la façon de prévenir le syndrome de mort subite du nourrisson.
Question 7 :
La patiente vous a dit que le nouveau-né de sa sœur avait développé une jaunisse. Elle vous demande ensuite comment peut-elle savoir que son nouveau-né développe une jaunisse en plus d'avoir la peau qui jaunit.
Question 8 :
Quel est votre conseil à sa sœur avec un nouveau-né qui a développé un ictère physiologique ?
Réponse 1:
1. Le bébé absorbe une grande partie de l'aréole.
2. Le bébé ouvre très grand la bouche.
3. Le menton du bébé touche le sein et son nez reste dégagé.
4. Les lèvres du bébé sont recourbées vers l'extérieur.
5. Il n'y a pas de claquements pendant l'allaitement.
6. Le bébé n'a pas de fossettes ou ses joues ne sont pas creuses lorsqu'il tète ou ses joues sont arrondies lorsqu'il tète.
Réponse 2 :
1. Pour prévenir ou minimiser les blessures, telles que les mamelons fissurés.
2. Permet au bébé de comprimer efficacement les sinus du lait maternel.
Réponse 3 :
1. Mouillé au moins 1 couche par jour jusqu'au 5ème jour, puis au moins 6 couches par jour.
2. A au moins 2 à 4 selles substantielles très molles et granuleuses par jour.
3. Le système tégumentaire est bien hydraté : peau et bouche.
4. Infirmières au moins 8 à 12 fois sur une période de 24 heures.
5. Est vigoureux pendant les périodes d'éveil.
Réponse 4:
1. Le lait maternel est plus facile à digérer pour un nouveau-né que les préparations commerciales pour nourrissons.
Réponse 5 :
1. Le vaccin peut avoir des effets secondaires mais, dans la plupart des cas, ils sont bénins et de courte durée.
2. La vaccination offre une protection contre les maladies qui pourraient avoir complications graves.
3. De nombreuses études ont montré qu'il n'y a aucun lien entre la vaccination et l'autisme.
4. L'allaitement ne protège pas contre les maladies ciblées par la vaccination.
Réponse 6 :
1. Faites dormir le bébé sur une surface ferme et plane.
2. Continuez l'allaitement.
3. N'utilisez pas d'oreillers, de couettes, de peluches et de coussins de protection dans le lit de bébé.
4. Ne laissez pas le bébé dormir dans le même lit que ses parents ou avec ses frères et sœurs.
5. Faites dormir le bébé dans son propre lit dans la chambre des parents.
6. Fournir un environnement sans fumée.
Réponse 7 :
1. Couleur jaunâtre de la sclérotique.
2. Augmentation de la somnolence ou des périodes de sommeil.
3. Diminution du nombre d'alimentations.
Réponse 8 :
1. Exposez son nouveau-né à la lumière du jour.
2. Allaitez son bébé plus souvent.
Une patiente de 2 ans a été transférée aux urgences de votre unité en raison d'un bronchospasme qui s'est avéré être la 3ème fois pour le même type de problème. L'enfant présente des rétractions xiphoïdes, sous-costales et intercostales inférieures modérées et une toux sèche occasionnelle. A l'auscultation, une respiration sifflante est présente. O2 sat est de 92% sur R/A. La mère déclare que l'enfant a des difficultés à dormir et qu'elle a été plus fatiguée que d'habitude au cours des derniers jours.
Question 1:
Quels autres signes et symptômes devez-vous évaluer concernant son état respiratoire ?
Question 2: poids enfant 12kg
Ordonnance des médecins :
Prednisolone (Pediapred) 12 mg qd
Salbutamol (Ventolin HFA) 2 mg dans 3 ml de NS via nébuliseur
Fluticasone (Flovent HFA) 125 mcg/bouffée, 2 bouffées bid via espaceur + masque
02 via des pinces nasales à 1,5 L/min
Le traitement a débuté aux urgences. La mère patiente vous demande que la respiration de son enfant s'est améliorée, mais qu'il est agité et ne veut pas s'endormir.
Quelle est l'explication du changement de comportement de l'enfant ?
Question 3:
La mère s'inquiète des effets secondaires des médicaments et pense que son enfant prend trop de médicaments.
Que direz-vous à la mère de l'enfant pour apaiser sa peur ?
Question 4:
La mère vous demande pourquoi il est important de continuer le Flovent même si ma fille va beaucoup mieux ?
Question 5 :
Faut-il diminuer progressivement les corticoïdes inhalés à la fin du traitement prescrit oui ou non, pourquoi ?
Question 6 :
L'enfant mère s'inquiète des effets possibles de l'inhalateur sur la croissance de son enfant, que lui direz-vous ?
Réponse 1:
1. Bruits de respiration audibles
2. Rétractions suprasternales ou supraclaviculaires
3. Utilisation des muscles accessoires du cou ou de l'abdomen pour respirer.
4. Évasement nasal
5. Cyanose périphérique
6. LOC modifié
7. Incapacité à dire 2 ou 3 mots sans être essoufflé.
8. L'expectoration
9. Obstruction des voies nasales par sécrétion nasale ou écoulement des voies nasales.
Réponse 2 :
1. Effet secondaire du médicament : salbutamol (Ventolin HFA)
2. Anxiété
Réponse 3 :
1. Rassurer la mère que les effets secondaires ne sont que temporaires.
2. Dites-lui que la dose prescrite est basée sur le poids de l'enfant.
Réponse 4:
1. Le mécanisme d'action des corticostéroïdes inhalés est lent et progressif.
2. Même s'il n'y a aucun signe, il y a toujours une inflammation dans les voies respiratoires. Il est donc important de respecter la durée de traitement recommandée.
3. La corticothérapie doit être terminée, c'est-à-dire administrée conformément aux prescriptions, pour réduire toute inflammation résiduelle et empêcher ainsi d'autres infections des voies respiratoires supérieures de provoquer un épisode plus grave de bronchospasme.
Réponse 5 :
Non, car les effets systémiques sont minimes.
Réponse 6 :
1. Les inhalateurs avaient peu d'absorption systémique, peu de risque de ralentir la croissance.
2. La dose prescrite est faible
Une patiente de 4 ans est hospitalisée pour fièvre d'étiologie inconnue et fracture de l'humérus. Au cours de l'examen physique, les v/s sont normaux, de multiples ecchymoses notées avec une forme, une taille et une couleur différentes. Vous remarquez que le patient évite le contact visuel et se retire. Sa mère déclare "L'enfant trébuche sur un jouet et tombe" tandis que le père explique que son enfant est maladroit et qu'elle tombe de son vélo.
Question 1:
Quelle est la priorité de prise en charge dans cette situation de probable maltraitance d'enfant ?
Question 2:
Quels sont les frais possibles pour l'infirmière si l'abus présumé n'est pas signalé ?
Question 3:
Rédigez une note d'avancement concernant la situation. Incluez quatre éléments d'information que vous jugez essentiels.
Question 4:
Saisissez une directive infirmière au PTI :
Problème ou besoin prioritaire
Abus physique probable
Réponse 1:
1. Signalez la possibilité d'abus au chef d'unité (infirmière en chef), à l'infirmière en chef adjointe, au médecin ou au travailleur social.
2. Signalez la situation au Service de protection de l'enfance (CPS).
Réponse 2 :
1. Négligence
Réponse 3 :
REMARQUE:
Les informations importantes sur les notes d'avancement doivent inclure :
1. Le comportement du patient et de l'enfant, décrit objectivement, sans aucun jugement ou d'interprétation.
2. Tout échange entre l'infirmière, l'enfant ou les parents, enregistré objectivement et textuellement.
3. Tout signe objectif et l'observation faite lors de l'examen de l'enfant.
Réponse 4:
1. Surveillez les signes de violence ou d'abus.
2. Observez la différence de comportement de l'enfant lorsque les parents sont là et lorsqu'ils ne sont pas là.
Monsieur X âgé de 50 ans hospitalisé pour rechute de rectocolite hémorragique.
Équilibre des fluides:
7h00-15h00
Apport : IV-400 ml, PO-200 ml
Sortie : Urine-400 ml, Stool-6 liquide, teinté de sang, Vomit-0
Ordonnances médicales :
-Dextrose 5% + NaCl 0,45% 1000 ml + 20 mEq KCl IV à 100 ml/h
-Électrolytes et hb ht qd
- Régime pauvre en résidus
-Hydromorphone (Dilaudid) 1 mg/ml, 2 ml SC q 3-4 h PRN
-Methylprednisolone (solutions medrol) 40 mg / ml, 1,5 ml IV q 6H
Question 1:
Quelle intervention prioritaire devez-vous effectuer suite à votre analyse du bilan hydrique de Monsieur X ?
Question 2:
Saisissez une directive infirmière au PTI :
Problème ou besoin prioritaire
Rechute de la rectocolite hémorragique
Question 3:
Que faut-il surveiller sur les selles du patient ?
Question 4:
Quelle explication donnerez-vous à M. X pourquoi les comprimés de méthylprednisolone 4mg doivent être pris le matin ?
Question 5 :
Le patient déclare que pendant les soins de stomie, l'odeur est dégoûtante, une raison pour laquelle il ne veut pas participer. Donnez 3 recommandations pour éviter les odeurs désagréables.
Question 6 :
Identifier les aliments qui aident à lutter contre les odeurs ?
Question 7 :
Identifier les aliments qui augmentent les odeurs ou les flatulences ?
Question 8 :
Saisissez une directive infirmière sur le PTI :
Problème ou besoin prioritaire :
Refus d'effectuer des soins de stomie
Réponse 1:
1. Réglez le débit de perfusion à 100 ml/h.
Réponse 2 :
1. Aviser l'infirmière en cas de signes de déshydratation.
Réponse 3 :
1. Fréquence
2. Apparence ou couleur
Réponse 4:
1. Pour qu'il coïncide avec le rythme naturel de sécrétion de cortisol du corps.
Réponse 5 :
1. Changez l'appareil tous les 5-7 jours ou PRN s'il fuit.
2. Videz le sac au 1/3 plein.
3. Utilisez un sac avec un filtre.
4. Évitez les aliments qui dégagent une odeur nauséabonde ou des gaz.
5. Utilisez des produits qui réduisent les odeurs (M9).
Réponse 6 :
1. Épinards
2. Persil
3. Yaourt
4. Babeurre
5. Canneberge
Réponse 7 :
1. Chou
2. Oignon
3. Poisson
4 œufs
5. Ail
6. Asperges
7. Brocoli
8. Boissons gazeuses
9. Bière
10. Vin mousseux
Réponse 8 :
1. Infirmière à explorer aspects psychologiques du port d'un appareil de stomie (image corporelle, estime de soi et sexualité) pendant les soins de stomie.
Un patient de 24 ans est admis dans votre unité en raison d'un pneumothorax et porte un drain thoracique en aspiration continue. Lors de votre bilan, le patient vous a dit : « Je bois deux bières par jour et 1 caisse tous les week-ends avec mes amis. Cela me détend en fin de journée et m'aide à dormir mais je me réveille 3 à 4 fois par nuit. Mais lorsque sa mère lui a rendu visite, elle vous a dit que son fils boit beaucoup plus d'alcool qu'il ne le dit et qu'il le fait régulièrement depuis qu'il a 15 ans.
Question 1:
Quelles informations donnerez-vous au patient sur l'effet de la consommation d'alcool sur la qualité de son sommeil ?
Question 2:
Hormis la relaxation, quelle recommandation prioritaire devez-vous donner à votre patient pour améliorer son sommeil ?
Question 3:
Saisissez une directive infirmière au PTI :
Problème ou besoin prioritaire
Risque de retrait
Question 4:
Identifier le S/S du sevrage alcoolique ?
Question 5 :
Combien d'heures environ les symptômes du sevrage alcoolique se développent généralement après que le patient a arrêté ou réduit sa consommation d'alcool ?
Question 6 :
Trois jours après son admission, le patient n'a montré aucun signe de sevrage. Rédigez une note d'avancement.
Question 7 :
L'infirmière auxiliaire vous informe que le patient n'a pas d'appétit ; ses plateaux sont intacts.
Poids à l'admission : 52 kg
Poids il y a 3 mois : 63 kg
Hauteur : 1,80 m
IMC : 16
Albumine : 28g/L (plage normale : 35 à 50 g/L)
Sur la base de ces informations, quel nouveau résultat d'évaluation allez-vous saisir dans le TNP ?
Question 8 :
Quel autre professionnel de la santé devez-vous impliquer dans les soins du patient après vos découvertes ?
Question 9 :
Identifier les vitamines nécessaires pour métaboliser l'alcool ?
Question 10 :
Quels sont les signes qui indiquent une malnutrition dans le cas du patient ?
Réponse 1:
L'alcool interfère avec la qualité du sommeil car il raccourcit les phases de sommeil profond et augmente les périodes d'éveil.
Réponse 2 :
Réduisez votre consommation d'alcool ou arrêtez de boire de l'alcool.
Réponse 3 :
Aviser l'infirmière en cas de signes et symptômes de sevrage alcoolique (dir. au plan de travail de l'infirmier)
Réponse 4:
1. Tremblement ou tremblement
2. Désorientation ou confusion
3. Irritabilité ou agressivité ou anxiété
4. Insomnie ou cauchemars
5. Agitation psychomotrice
6. Hallucinations
7. Mange peu ou rien
8. Nausées, vomissements et diarrhée
9. Transpiration
Réponse 5 :
1. 4-12 heures
Réponse 6 :
Date et heure : Aucun signe de sevrage au cours des 3 derniers jours.
signe et titre
Réponse 7 :
1. Malnutrition ou carence nutritionnelle
Réponse 8 :
1. Diététicien ou nutritionniste
Réponse 9 :
1. Vitamine B
2. Vitamine C
Réponse 10 :
1. Perte de poids (plus de 17 % au cours des 3 derniers mois)
2. Indice de masse corporelle de 16
3. Le niveau d'albumine est bas
Un homme de 42 ans a subi une hémicolectomie droite il y a 3 jours sonne la cloche en se plaignant de 7/10 de douleurs abdominales. Il se sent ballonné, nauséeux et dit qu'il rote fréquemment. Son abdomen est distendu et n'est pas allé à la selle depuis son opération. La percussion révèle la tympan et les v/s sont tous stables.
Question 1:
Que pensez-vous du problème du patient?
Question 2:
Que devez-vous effectuer pour compléter votre évaluation abdominale?
Question 3:
Quelle est la fréquence normale des bruits intestinaux par minute ?
Question 4:
Où faut-il ausculter sur l'illustration ci-dessous ?
Question 5 :
Quel est le signe tardif d'iléus que manifeste le patient ?
Question 6 :
L'évaluation abdominale est effectuée de cette manière Inspection, Auscultation, Percussion et Palpation. Quelle est la principale raison pour laquelle la palpation est effectuée en dernier ?
Question 7 :
Le patient doit-il reprendre un régime oral, oui ou non ?
Question 8 :
Le soir, le patient refuse de se lever car il dit avoir des gaz intestinaux et se sentir mal à l'aise. Que direz-vous au patient pour l'inciter à se mobiliser ?
Question 9 :
Le patient reçoit une perfusion de NaCl 0,45% avec du dextrose 5%, 1000 ml + 20 mEq fonctionnant à 30 ml/h. Le médecin a prescrit de la ceftriaxone 750 mg IV en 30 minutes. A disposition, un flacon de 1000 mg à diluer avec 9,8 ml d'eau stérile, après la dilution du flacon a un total de 10 ml à mélanger avec 100 ml de liquide de perfusion. Votre facteur d'égouttement sur le tube est de 15gts/min.
1. Quel volume puiser dans le flacon pour obtenir la dose prescrite ?
2. Quel débit (gouttes par minute) réglerez-vous la perfusion en respectant le temps d'administration ?
Question 10 :
Outre la vérification de la prescription médicale, des médicaments, de la dose, de l'itinéraire et de l'heure par rapport au dossier de médication et à l'identité du patient. Identifiez deux vérifications supplémentaires que vous devez effectuer avant de commencer à administrer le médicament ?
Question 11 :
1. Quels sont les signes d'infiltration ?
2. Quels sont les signes de la phlébite ?
Réponse 1:
1. Iléus paralytique ou absence de péristaltisme
Réponse 2 :
1. Ausculter pour vérifier la présence ou l'absence de bruits intestinaux
2. Palper l'abdomen pour vérifier la rigidité ou la douleur
3. Évaluer si le patient est capable d'expulser les gaz intestinaux
Réponse 3 :
1. 4-34 bruits intestinaux irréguliers par minute
Réponse 4:
Réponse 5 :
1. Absence de bruits intestinaux
Réponse 6 :
1. Cela altère le péristaltisme et est douloureux
Réponse 7 :
1. Non, jusqu'au retour du péristaltisme
Réponse 8 :
1. La mobilisation aidera à expulser les gaz intestinaux et soulagera son inconfort.
Réponse 9 :
1. 7,5 ml
750 mg x 10 ml = 7,5 ml
1000 mg
2. 54 gouttes/minute ou 50 gouttes/minute
Débit = 108 ml x 15 gouttes = 54 gouttes/minute ou 50 gouttes/minute
30 min ml
Réponse 10 :
1. Vérifiez l'allergie à la ceftriaxone
2. Vérifier le site d'insertion de l'aiguille (infiltration ou phlébite)
Réponse 11 :
1. Infiltration :
-Gonflement
-Peau froide
-La douleur
2. Phlébite :
-Douleur ou brûlure
-Rougeur ou gonflement localisé
-La veine est dure et ressemble à un cordon
Vous avez trouvé votre patient de 75 ans allongé sur le sol qui a subi une résection transurétrale de la prostate (RTUP) hier. Vous constatez que le lit est dans la position la plus basse et que les 4 barrières latérales sont relevées. Le patient délire. L'examen physique et les v/s sont tous normaux. Tu le remets au lit.
Question 1:
Quelle action prioritaire devez-vous entreprendre immédiatement pour éviter que votre patient ne fasse une autre chute ?
Question 2:
Identifiez une intervention administrative que vous devez effectuer?
Question 3:
Que devez-vous inclure lors de la rédaction d'une note d'avancement concernant cet incident ?
Question 4:
La nuit, le patient est très agité et délire, il essaie de retirer sa sonde urinaire et sa ligne IV. Vous décidez de mettre une contention au poignet puisque toutes les mesures Fini pour lui sont inefficaces.
Le matin la patiente dort tranquillement et sa fille vient d'arriver rester avec le patient. La fille déclare "Je suis inquiète de voir mon père ainsi, il a toujours été lucide". Les v/s du patient sont tous normaux.
Allez-vous supprimer la retenue? Oui ou non
Donnez deux raisons pour expliquer votre décision ?
Question 5 :
À quelle fréquence devriez-vous évaluer le comportement du patient qui est en contention ?
Question 6 :
La contention doit être utilisée en dernier recours car elle interfère avec quel droit ?
Réponse 1:
1. Abaissez les barrières de lit ou abaissez l'une des barrières de lit (zone des jambes)
Réponse 2 :
2. Rédiger un rapport d'incident/accident
Réponse 3 :
1. Décrire tous les détails de la chute
2. L'état du patient
3. Toute intervention effectuée pour réduire ou prévenir les conséquences
Réponse 4:
Oui
1. Le patient est calme
2. Un membre de sa famille est présent et peut le surveiller de près
Réponse 5 :
1. Au moins toutes les heures
Réponse 6 :
1. Droit à la liberté
Ce matin, un patient de 70 ans a subi une néphrectomie droite, qui est actuellement sous hydromorphone (Dilaudid) 1mg/ml, 1 ml SC administré dans le bras droit pour la douleur. Pendant votre quart de soir, le patient s'est réveillé, incohérent et ayant des hallucinations visuelles. Il est incapable de suivre des instructions simples, agité et désorienté vers 2 sphères (temps et lieu). Ses v/s sont tous normaux.
Question 1:
Après avoir évalué l'état mental du patient :
Saisissez un problème ou un besoin prioritaire et une directive infirmière dans le PTI.
Question 2:
Mis à part la chute, quel sera l'effet de relever toutes les barrières de lit pour le patient dans ce scénario (selon le ministère de la Santé et des Services sociaux [2006]) ?
Question 3:
Quels facteurs contribuent probablement à l'état mental altéré du patient ?
Question 4:
Vous avez reçu un rapport indiquant que le patient est très somnolent et que son visage est pâle. Lorsque vous examinez le patient, vous constatez que ses extrémités sont froides et sa transpiration. Vous avez tenté de le réveiller mais reste stupeur. V/s sont : BP 85/65, P 124/min., rég., R 32/min., irrég. et peu profond, SpO2 95% R/A. Le débit urinaire de la dernière heure est de 15 ml d'urine rose.
Que devez-vous vérifier d'autre pour compléter votre évaluation ?
Question 5 :
La couleur de l' urine du patient est-elle normale ? Oui ou non.
Question 6 :
Identifier deux interventions prioritaires à effectuer avant d'appeler le médecin ?
Question 7 :
Le lendemain, l'état du patient s'est amélioré et a commencé un régime léger avec des liquides oraux limités à 1,5 L/jour.
L'enregistrement précédent d'admission et de sortie est ; entrée 4000 ml, sortie 820 ml. Préoccupé par l'hx du patient d'insuffisance cardiaque gauche, vous avez peur qu'il développe une surcharge circulatoire.
Quels signes et symptômes demanderez-vous à l'infirmière auxiliaire de vous signaler concernant le risque de surcharge circulatoire ?
Réponse 1:
1. Signes de postopératoire délire
-Infirmière pour évaluer les fonctions mentales supérieures ou l'état mental q 4h
-Avertir l'infirmière si patient va devenir agité ou si signes de détérioration de l'état mental (dir. au plan de travail PAB)
1. Risque de chute
-Gardez une ou les deux barrières de lit abaissées en tout temps (dir. au plan de travail de l'ordonnateur)
Réponse 2 :
Augmenter:
1. Agitation 2. Délire 3. Peur
Réponse 3 :
1. Effets secondaires des analgésiques opioïdes
2. Effets secondaires des produits anesthésiques
3. Hospitalisation ou environnement inconnu
4. Situation postopératoire
Réponse 4:
1. Vérifier l'absence de saignement sur le site opératoire ou dans le lit du patient
Réponse 5 :
1. Oui, l'urine rose est courante après ce type de chirurgie
Réponse 6 :
1. Administrer de l'oxygène selon l'ordre collectif
2. Couvrir le patient pour maintenir la chaleur corporelle
Réponse 7 :
1. Dyspnée nocturne paroxystique ou SOB ou orthopnée
2. Tachypnée
3. Cyanose
4. Diminution de la saturation en O2
5. Toux
6. Bruits de respiration accidentels audibles
7. Agitation
8. Tachycardie
9. Nycturie
Vous êtes infirmière en résidence pour personnes âgées et travaillez avec un patient de 70 ans qui vient d'arriver il y a une semaine en raison de problèmes de mobilité et de perte d'autonomie. Hx médical : Insuffisance cardiaque. Les médicaments actuels du patient sont ; Digoxine, ramipril, furosémide, pravastatine et AAS. V/S : BP-110/70, P-60, R-18.
Question 1:
Donnerez-vous la digoxine au patient ? Oui ou non. Pourquoi ?
Question 2:
Quelques jours plus tard, la patiente déclare se sentir un peu essoufflée que d'habitude surtout en position couchée. Son V/S : BP-95/55, P-112, R-22, SPO2-95% sur R/A.
Identifier d'autres signes qui indiqueraient une détérioration de l'état du patient ?
Question 3:
Ce matin, le patient se plaint de fatigue, de vertiges, de faiblesse musculaire et d'altération de la perception des couleurs.
Laboratoires :
-Na : 135 mmol/L (normal 135-145 mmol/L)
-K : 3,4 mmol/L (normale 3,5-5,0 mmol/L)
-Cl : 99 mmol/L (normale 100-106 mmol/L)
-Digoxémie : 2,6 mmol/L (plage normale : 1,0-2,6 mmol/L)
Donnerez-vous la digoxine au patient ?
Expliquez votre décision?
Question 4:
Une semaine plus tard, la patiente s'est soudainement effondrée sur sa chaise tout en tenant sa poitrine. elle est inconsciente, pas de pouls, et ne répond pas aux stimuli. Vous avez appelé le 911, l'avez placée sur une surface ferme et avez demandé un défibrillateur externe automatisé.
Identifier les 3 premières interventions prioritaires que vous devez effectuer dans l'ordre chronologique ?
Réponse 1:
Oui, les V/S sont stables (le pouls est de 60/min)
Réponse 2 :
1. dème des jambes
2. Veines jugulaires distendues
3. Crachats roses et mousseux
4. Présence de crépitements à l'auscultation
5. Remplissage capillaire lent : >2 ou 3 sec.
Réponse 3 :
Non, le patient présente des signes et des symptômes de toxicité de la digoxine
Réponse 4:
1. Commencer la compression thoracique
2. Ouvrez les voies respiratoires du patient
3. Donnez des insufflations
Une patiente de 83 ans qui vit en maison de retraite depuis quelques mois, la patiente a peu d'appétit. Aujourd'hui, elle est sortie pour une activité, malgré le temps chaud. Lorsqu'elle rentre chez elle, elle se sent nauséeuse, étourdie, fatiguée et faible. Des évaluations supplémentaires ont noté que la patiente est incohérente, dyspnéique et que ses lèvres sont fissurées. V/S : BP 90/60, P 102, R 24, T 37,6 .
Question 1:
D'après votre évaluation, quel est le problème du patient ?
Question 2:
Quels autres signes devez-vous vérifier pour compléter votre évaluation du problème du patient ?
Trois jours plus tard, la fille du patient vient lui rendre visite. Elle a peur que sa mère ne reconnaisse pas sa. Vous avez appris que le patient ne participait pas à cette activité de l'après-midi et mangeait très peu. Elle est restée dans sa chambre, disant qu'elle se sentait très fatiguée. L'évaluation révèle une toux sèche et improductive. V/S : BP 130/80, P 108/min, R 24/min, T rectale 37,8 C
Question 3:
Quel problème de santé pourrait expliquer le changement de l'état du patient ?
Question 4 :
Quels sont les signes et symptômes qui confirment votre réponse à la question numéro 3 ?
Question 5 :
Le mois suivant, vos soins à domicile vous offrent le vaccin contre la grippe. Lorsqu'elle est proposée à la patiente, elle déclare "Je ne veux pas du vaccin, je n'en vois pas l'utilité puisque cela m'a rendu malade avant".
Réponse 1:
1. Déshydratation
Réponse 2 :
1. Diminution de la turgescence cutanée sur le front ou le sternum.
2. Bouche sèche ou absence de salive.
3. Languette épaissie ou rainures longitudinales sur la languette.
4. Désorienté dans les 3 sphères : temps, personne et lieu.
Réponse 3 :
1. La présence d'un processus infectieux ou d'une infection respiratoire.
Réponse 4:
1. Augmentation de la température rectale.
2. Augmentation de la fréquence cardiaque.
3. Augmentation de la fréquence respiratoire.
Réponse 5 :
1. Avantages du vaccin.
2. Risques associés au vaccin.
3. Dangers du virus de la grippe pour les personnes âgées.
Monsieur X, 79 ans, a été hospitalisé pour une pneumonie du lobe inférieur droit il y a deux jours. Une antibiothérapie a été instaurée lors de son admission.
Aujourd'hui, son état clinique s'est grandement amélioré, malgré le fait que sa température corporelle avoisine toujours les 37,5 C. A 14h00, l'infirmier vous demande : « Puis-je laisser M. X rester au lit ? Il dit qu'il ne se sent pas. comme se lever." Vous insistez pour qu'il se lève.
Question 1:
Donnez au préposé deux (2) raisons pour expliquer pourquoi il est important que Monsieur X se lève.
Le médecin a ordonné un test de spirométrie pour mesurer son volume expiratoire forcé en une seconde (VEMS).
Question 2:
A quoi sert ce test diagnostique ?
M. X est prêt à être libéré aujourd'hui. Ses ordonnances médicales comprennent antibiotiques et warfarine. Le patient demande s'il peut recommencer à prendre ses produits naturels.
Question 3:
Que faut-il vérifier par rapport aux produits naturels que prend le patient ?
Réponse 1:
1. Se lever aidera le client à éliminer ou à expulser ses sécrétions pulmonaires.
2. Le fait de se lever préviendra le développement de complications liées à l'immobilité (complications pulmonaires, cardiovasculaires, musculaires, tégumentaires, etc.)
3. Se lever favorise l'expansion pulmonaire et les échanges gazeux.
Réponse 2 :
1. La spirométrie est un test utilisé pour évaluer l'efficacité des mouvements des poumons et de la paroi thoracique et pour confirmer un diagnostic de maladie pulmonaire. Il est également utilisé pour évaluer les signes et les symptômes des maladies pulmonaires.
Réponse 3 :
Vérifiez s'il existe une interaction médicamenteuse entre le médicament prescrit et les produits naturels que prend Monsieur X ou vérifiez s'il existe des contre-indications à la prise des produits naturels en même temps que le médicament prescrit.